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Un psychiatre est venu expliquer, jeudi 12 mai à la cour d'assises de Paris, que, même si certains témoignages peuvent présenter des incohérences, il ne faut pas douter de la véracité du récit des rescapés d'un génocide. La semaine prochaine, de nombreuses parties civiles vont s'exprimer au procès d'un ancien préfet.