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Alors qu'ils semblaient sur le point de prendre la capitale, les rebelles du Front patriotique rwandais ont proclamé hier un cessez-le-feu immédiat. Une volte-face sous la pression militaire de
la France qui, très engagée aux côtés du régime Habyarimana, vient de dépêcher 300 hommes supplémentaires sur place.